OUESSANT en "Aquaplume"
Technique du dessin à la plume encre de chine en trait de 0,2 dixième de mm aquarellé
* Moulin de Caraës et phare
du Créac’h 54x74
* Baie de Lampaul « La Pose » 50 x 70
* Gardiens de phares
« La relève » au phare de la vieille jument
sur papier "Arches" 73x92
* La petite maison du coiffeur - Lampaul
(ancien salon de coiffure d’Ouessant)
44 x 54
* Le port de Lampaul - 53 x 73
* Les moulins de Caraës 54 x 74
Canot de sauvetage tout temps
« Patron François Morin »
classé Monument Historique
53 x 43
Le phare de la vieille Jument
50 x 70
L’Enez Eusa III
compagnie « Pen ar Bed »
à la parade de « Brest 2000 »
50 x 70
Texte du Proela
à l’arriére de la chapelle du cimetière
34 x 44
Chapelle du Proela
dans le cimetière d’Ouessant
50 x 70
L’urne du Proela
dans l’église de Ouessant
50 x 70
Le « Proëlla ouessantin »
Un rituel unique au monde
A Ouessant, où tous les hommes sont marins, la mer prélève sur la race un nombreux tribut de victimes.
Les cadavres que l’on retrouve ont leur dernière demeure assurée dans le cimetière. Mais la liste est longue de ceux que l’océan ne rend jamais.
Pour que ces noyés sans sépulture ne soient pas condamnés à errer sans fin dans l’autre monde, les Ouessantins pratiquent pour le repos de leurs Anaon un simulacre d’enterrement. L’ensemble de la cérémonie s’appelle un proella (corruption peut-être du début de quelque hymne funéraire latine commençant, je suppose, par Pro illa anima )
Cette pratique aura perduré jusqu’en 1962
Réalisation Jean Pierre BLANDEL et Bruchservices